CHATA MATA

Chata Mata, Lmra, Louled, Bounessouane… Différentes façons de dire “ma femme”, sans pour autant le dire. Son nom ne peut être prononcé, ne peut être dit en public par certains, et cela fait partie de notre culture, sans s’en rendre compte nous pouvons continuer à propager une culture qu’on devrait bannir, dénoncer et refuser. notre langue porte en elle une grande partie de cette culture, et la violence contre la femme commence parfois dans cette langue, par l’absence de cette femme qui se cache sous différentes appellations à part celle qu’elle est vraiment, son nom.

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